C'est donc avec l'aide de ce Paradoxe, de Diderot, qu'ils ont décidé de se lancer dans cette histoire ironique et débridée d'un auteur et de son bourreau. L'eau et le feu partageant la même table, s'entre-déchirant afin de comprendre ce mystère insondable, impalpable, étrangement simple et complexe, qu'est l'art d'interpréter.
Comme a su le dire un grand acteur, dont nous tairons le nom, alors qu'il sortait de scène, à qui un placier demandait : « Comment avez-vous fait pour être si vrai? – C'est simple... J'ai joué. »
Jouons donc... comme des petits poussins.