Entre comédie grossière et tragédie humaine, Sauce Brune propose aussi l’étude d’une langue québécoise où la majorité des mots sont remplacés par des sacres. Les sacres y deviennent qualificatifs, adverbes, compléments, verbes et interjections.
Avec Sauce brune, Simon Boudreault nous livre un texte décapant. En visitant le tabou du sacre par son utilisation excessive, l’auteur explore les limites de la langue et l’incommunicabilité présente dans notre ère de « texto », d’expressions toutes faites et utilisables à toutes les sauces.